« Lacrimosa »
(Jour plein de larmes)
Comment accueillir un visage absent, « la mort dans les yeux », saisir l’indicible, l’impensable, la pétrification,
« cette tête vêtue de nuit, cette face masquée d’invisible » ?
Comment célébrer la fête des trépassés par des figures blafardes grimaçantes, monstrueuses, englouties, le masque funéraire, la mère morte ?
Merci à Jean-Pierre Vernant et à Jean Clair pour avoir nourri mes études sur
Méduse.
Judicaël - 2012